C’est maintenant au tour de notre secrétaire d’Etat à l’Aziz et à la migration de s’inquiéter du sort de nos concitoyens qui affichent une orientation sexuelle différente de la sienne. A moins qu’il ne s’agisse là d’une simple résurgence d’un réflexe d’envie et de jalousie lié à un mécanisme de refoulement sublimé jusqu’ici par une certaine forme d’indifférence active à l’égard des différentes différences, nous sommes en droit d’avancer l’hypothèse que le brave homme est bel et bien atteint du "syndrome du trans-it".
Explications pour les non-initiés. Les mots se terminant en « ite » désignent généralement une inflammation. Exemples :
- pharyngite (inflammation du pharynx),
- bronchite (inflammation des bronches),
- presbyte (inflammation de la b…, mal particulièrement répandu chez les marins : on parle alors de la bite d’amarrage),
- chite (terme populaire wallon, traduisant un excès de selles),
- steack-frites (actuellement 10,99 € chez lunch-garden),
- marguerite (le cas le plus célèbre à ce jour est celui de Bianca Castafiore ah je ris de me voir si belle en ce miroir),
- etc.
Le trans-it est donc une allergie, voire une intolérance à l’égard de tout ce qui est « trans ». Dans le cas qui nous occupe, le problème a commencé par une éruption cutanée provoquée par la recrudescence des trans-humances qui traversent nos régions. Ce sont maintenant les trans-sexuels et les trans-genres qui provoquent chez le sujet suce-nommé un certain malaise se manifestant par une forte trans-piration malodorante.
Notre conseil : méfions-nous de ces cas isolés, car la maladie peut se trans-mettre par simple contact.
Donc, voilà.