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Donc voilà

Un peu de tout, sur tout ou rien, selon l'humeur du jour.

CONSEIL CONSOMMATEUR

Publié le 29 Juillet 2018 par Jean Dufour

Si vous recevez un appel d'un voyant ou d'une voyante qui vous propose ses bons services mais qui n'est pas à même de prévoir que vous allez lui raccrocher au nez, voire l'insulter copieusement, il est évident qu'il ou elle n'est probablement pas doté(e) de la compétence minimale qui lui permette de vanter ses dons de prédiction. Dans ce cas, un conseil, ne décrochez pas !
Donc, voilà,

CONSEIL CONSOMMATEUR
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PENSÉE CANICULAIRE (DE RIEN)

Publié le 28 Juillet 2018 par Jean Dufour

Il est chaudement recommandé de ne consommer de l'eau qu'avec parcimonie.
Que ceci ne nous empêche pas de boire un coup avec les autres !
Donc, voilà,

PENSÉE CANICULAIRE (DE RIEN)
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FESTIVAL DE CANETTES

Publié le 25 Juillet 2018 par Jean Dufour

A l'heure où les décideurs qui décident pour nous lancent leur Job Deal (NDLR: ne pas confondre avec le Big Dill, monument de la culture télévisuelle de la fin du siècle dernier, présenté par Vincent Lagaff et son célèbre acolyte Bill l'extra-terrestre de la planète Fricus), la Wallonie propose un nouveau type de job-job-job: ramasseur de canettes ! Pour un salaire de 5 centimes l'unité, les citoyens pourront ramener les canettes abandonnées qu’ils auront ramassées dans l'espace public. Ce gain financier sera exonéré d'impôts et cumulable avec d'autres sources de revenus. Les syndicats ont d'ores et déjà applaudi la mesure !

Attention, seules les canettes retrouvées sur la voie publique pourront être rapportées. Les boissons conditionnées en canette et consommées à domicile devront toujours être déposées dans les sacs PMC ou ramenées dans un recyparc. 
Il est donc fortement conseillé de d'abord jeter sa canette dans un champs ou sur un trottoir, de la souiller et de la cabosser un tant soit peu, avant d'aller l'échanger contre les 5 centimes. L'idéal est d'abandonner votre canette au bord de la route durant quelques jours en prenant soin d'y écrire votre nom et votre adresse, afin de la retrouver à votre retour et surtout d'éviter qu'un autre citoyen n'en profite.
Donc, voilà

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CI-DESSUS - CI-DESSOUS

Publié le 24 Juillet 2018 par Jean Dufour

Profitons de cette canicule (NDLR: Comme nous l'écrivions ici-même le 2 juillet 2015: "Il ne faut pas confondre "canicule" et "sodomie canine". La deuxième cause bien plus de victimes chaque année sous nos contrées que la première"), profitons-en donc pour nous cultiver un brin (de persil).

Dans les nombreux courriers et formulaires qui jonchent les allées du labyrinthe administrativo-procédurier dans lequel nous nous perdons chaque jour un peu plus sans jamais trouver ni le chemin le plus court, ni la bonne sortie, fleurissent des locutions diverses et variées (NDLR: ces deux mots veulent dire à peu près la même chose mais d'une manière diverse et variée) donc des locutions diverses et variées telles que le célèbre "ci-dessous", terme utilisé exclusivement dans la littérature pratique du genre modes d'emploi, vade-mecum de déclaration des contributions, ou travail de fin d'études de l'élève fayot qui veut montrer qu'il en sait plus que le prof. Mais connait-on encore aujourd'hui la signification première et profonde de ce terme venu de la nuit d'étang ?

Il nous faut remonter à une époque lointaine pour y trouver trace de cette célèbre stripteaseuse qui cultivait l'art de faire saliver son public masculin, mais pas que, en retirant lascivement les six couches de sous-vêtements dont elle se vêtait en coulisse avant de s'en séparer, un à un, sur le podium. Très vite, le titre de "Six-dessous" s'imposa à son spectacle comme une évidence (des canards).

Le terme a survécu jusqu'à nous, même si son orthographe fut transformée sous la plume d'un moine copiste presbyte du Moyen-âge, probablement gagné par l'émotion du sujet. Il désigne aujourd'hui l'attente insupportable nécessaire au dévoilement de l'entièreté d'un sujet causée par le  temps de descente du regard vers le bas de la page, et son arrivée au complément d'objet convoité. De l'effeuillage à la page, il n'y a qu'un pas .... Ceci explique cela. Et réciproquement.

Nous sommes particulièrement heureux d'avoir, une fois de plus, contribué modestement à l'élargissement du champs du savoir humain.

Notre photo, ci-dessous, six dessous de verre.

Donc, voilà,

 

CI-DESSUS - CI-DESSOUS
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LE SAINT DU JOUR ... D'HIER

Publié le 20 Juillet 2018 par Jean Dufour

Hier, Saint Arsène.

On sait peu de choses sur Arsène, si ce n'est qu'il était un des tout premiers jardiniers athlétiques, champion du monde du triathlon horticole: saut à l'asperge, course de taille-haies et traversée de l'hectare à la nage.

La spécialité maraîchère qui fit sa réputation était l'élevage de carottes cuites. La recette est toute simple, mais il fallait y penser. Et lui, il y a pensé ! Prenez en bonne note: pour un kg de carottes, arroser chaudement le champ chaque jour à l’heure du souper (compter un litre d'eau bouillante par mètre carré). Cette technique révolutionnaire doit toute son efficacité au fait qu'elle se double de l'idée de génie de faire pousser les carottes horizontalement, plutôt (wouf, wouf) que verticalement, ce qui en réduit considérablement le nombre, mais en améliore sensiblement la qualité de cuisson. De plus, au moyen d'une simple bêche bien tranchante, il est possible de découper les carottes en rondelles, à même le sol, dès avant leur récolte. Un gain de temps considérable (de lièvre) et une nouvelle preuve du génie inventif du cerveau humain.

On doit aussi à Arsène la réforme de la méthode de cuisson de la pomme de terre, quand il constata que préparer des pommes de terre en chemise était tout aussi performant si on les préparait en tee-shirt. Ce qui, par ces périodes de canicule, est particulièrement appréciable.

Parmi les Arsène célèbres, citons 
- Arsène Lupin, le gentleman cambrioleur héros du feuilleton familial des années septante, l'ancêtre des Candice Renoir, inspecteur Barnaby et autre Bones, 
- Arsène Vaillant, le commentateur sportif des années septante, l'ancêtre des Rodriguo Benkens, Thierry Luthers et autre Gaëtan Vigneron, 
- et Arsène Hic, l'alcoolique des années septante, mort de soif, l'ancêtre des (....), (....) et autres (....). (NDLR Il nous a été demandé de ne pas publier les noms de (....), de (....) et de (....), par respect pour leurs colistiers).

Et enfin, souhaitons une bonne fête à tous les régisseurs du son dont Arsène est le saint patron, lui à qui l'on doit le célèbre effet de l'Arsène !

Donc, voilà.

LE SAINT DU JOUR ... D'HIER
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"LE MON DENTIER FAIT BOUM" (Ch.Trenet)

Publié le 18 Juillet 2018 par Jean Dufour

Les historiens du futur ont retrouvé un document inédit, daté du jour même où le président des Etats-Unis déclara la guerre nucléaire qui détruisit la moitié de la planète et réduit à néant l'autre demi. Il s'agit d'un enregistrement sonore capté une demi-seconde après le déclenchement de l'explosion. On entend distinctement le président déclarer: "c'est mon doigt qui a fourché".

Un petit pas pour l'homme, un gros boum pour l'humanité !
Donc, voilà,

"LE MON DENTIER FAIT BOUM" (Ch.Trenet)
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LA SAINTE DU JOUR

Publié le 17 Juillet 2018 par Jean Dufour

Aujourd'hui, Sainte Charlotte.
On sait peu de choses sur Charlotte. 
On se souvient qu'elle fut inscrite au Livre des Records pour la plus longue plongée en apnée dans de la confiture de fraise. Le surnom de Charlotte aux fraises doit probablement son origine à cet exploit hors du commun.

Selon certaines sources, au XVIIème siècle, l'AFSCA préconisait déjà au personnel de cuisine, y compris au chef, de se couvrir le chef (NDLR. Que le chef, avec ou sans couvre-chef, soit dénommé maître-queue, reste une énigme). Personne ne respectait l'injonction, bien entendu. Sauf en cas d'inspection surprise. Tous alors empoignaient fissa ce qu'ils avaient sous la main pour se le flanquer sur le crâne. Et c'est ainsi qu'un inspecteur surpris surprit un jour tous les cuisiniers d'un restaurant coiffés d'une charlotte aux fraises ou au chocolat. L'histoire fit grand bruit, à tel point que les couvre-chefs culinaires portèrent désormais le nom de charlotte.

Selon d'autres sources, au XVIIème siècle, l'AFSCA préconisait déjà au personnel de cuisine, y compris au chef, de se couvrir le chef (NDLR, voir plus haut, on ne va quand même pas tout répéter deux fois !!!). Personne ne respectait l'injonction, bien entendu. Sauf en cas d'inspection surprise. Tous alors empoignaient fissa ce qu'ils avaient sous la main pour se le flanquer sur le crâne. Et c'est ainsi qu'un inspecteur surpris surprit un jour tous les cuisiniers d'un restaurant coiffés de purée de pommes de terre de la variété "charlotte". L'histoire fit grand bruit, à tel point que les couvre-chefs culinaires portèrent désormais le nom de charlotte.

La pomme de terre charlotte (NDLR: Tout comme Charlotte Gainsbourg, d'ailleurs), se caractérise par une forme oblongue, une peau fine, et une chair ferme. Très productive et d'une excellente tenue à la cuisson, il convient de la cuire à la vapeur, ou de la sauter mais non de la rôtir. (NDLR l'assimilation à Charlotte Gainsbourg se limitera aux seules premières caractéristiques ci-avant. Quoique. En fait, on ne sait pas. En tous cas, pas nous. Malheureusement. Ou pas).

Charlotte eut quatre garçons qui formèrent le groupe musical des Charlots, dont on retiendra l'apport incontestable au développement du langage poétique contemporain, dans des œuvres telles que "Le gosse pèle", "L'apérobic", ou encore "Je chante en attendant que ça sèche". 
Ecoutons plutôt. Wouf, wouf.
Donc, voilà,

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TROISIÈME MI-TEMPS

Publié le 15 Juillet 2018 par Jean Dufour

L'invasion footballistique étant clôturée, nous allons enfin pouvoir utiliser nos écrans et nos soirées télévisuelles à d'autres fins que ces spectacles de courses à la baballe qui ont détourné l'attention du bon peuple des vrais problèmes de société tels que le Tour de France ou le tournoi de Wimbledon.

Profitons de cette trêve pour revoir quelques monuments du septième art qui traverseront le temps et resteront bien plus longtemps dans les mémoires que les performances de nos Diables. Pour nous désintoxiquer, voici quelques suggestions de films à voir ou à revoir et même à re-re-voir:

- On a beau le visionner pour la dixième fois, c'est toujours avec autant de plaisir que l'on reverra: "Mais où est donc passé la septième Kompany".

- Ces périodes de vacances scolaires sont l'occasion idéale pour revoir en famille ce bon vieux dessin animé: "Lukaku contre les Dalton"

- Si l'on opte pour du classique, privilégions une valeur sûre : "Les jeux de l'Amour et du Hazard". L'amour Courtois reste un thème éternel !

- Ou alors ce bon vieux western: "Le bon, De Bruyn et le truand".

Et, enfin, si vous optez pour le grand écran, soulignons la sortie au cinéma de "Cornélius, le Meunier hurlant".

Bon film !

Donc, voilà,

TROISIÈME MI-TEMPS
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HORS JEU !

Publié le 12 Juillet 2018 par Jean Dufour

Le monde entier retient son souffle (NDLR. Ne pas confondre avec le "mon dentier retient son souffle" ... signe qu'il est temps de prendre rendez-vous).

La planète entière est tenue en haleine. Les médias sont sur le pied de guerre. Le suspens est à son comble. Les projecteurs pointent tous vers un même endroit du globe. La Russie est au centre des discussions de bistro comme des débats à la radio. Dans quelques heures, nous connaîtrons enfin le dénouement, après une attente qui aura paru interminable, et nous pourrons nous réjouir, ou pas, de l'issue de ce véritable bras de fer.

A qui la victoire ? Les pronostics vont bon train. Malheureusement les adversaires sont loin d'être à égalité de force et on est en droit de craindre un résultat décevant, sauf rebondissement de dernière minute.

Qui va l'emporter, du Président Wladimir 1er ou du réalisateur Ukrainien Oleg Sentsov qui en est à sa 60ème journée de grève de la faim au fond de sa geôle de Sibérie ? 
Affaire à suivre ...
Donc, voilà.

HORS JEU !
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UN JOUR DANS L'HISTOIRE

Publié le 10 Juillet 2018 par Jean Dufour

Une fois de plus, un programme télévisuel va rassembler les foules et fédérer les publics au-delà des habituelles divergences qui engendrent incompréhension, rejet et violence. La formule "l'amour, c'est regarder ensemble dans la même direction" trouvera ici tout son sens, puisque c'est dans un bel unisson, que l'on aimerait observer plus souvent, que les cœurs des belges vont battre ce soir, partageant les mêmes émotions, engrangeant les mêmes souvenirs inoubliables qui alimenteront les conversations des années durant. Ou dupont.

On attendait cet heureux événement depuis bien longtemps. Et le voilà enfin arrivé. L'incroyable devient réalité. Le rêve est aujourd’hui à portée demain. Ce soir à 21 heures, la Trois diffuse "Alexandre le Grand". Oui, vous avez bien lu, l'excellent film de Robert Rossen, sorti en 1956, mettant en scène Richard Burton dans le rôle d'Alexandre, Frédéric March dans le rôle de Philippe de Macédoine et Claire Bloom dans le rôle de Blasine. Que du beau monde !

On peut l'affirmer sans crainte de se tromper, l'audimat atteindra ce 10 juillet 2018 des sommets d'un niveau inégalé depuis les victoires d'Eddy Merckx, le triomphe de Sandra Kim, ou les apparitions de Michel Daerden.

Pour vous donner l'eau à la bouche et convaincre les derniers récalcitrants, un petit résumé de ce que vous pourrez découvrir sur votre petit écran: "356 avant Jésus-Christ. Alors que le roi Philippe de Macédoine entreprend la conquête de la Grèce, Olympias, sa femme, donne naissance à un garçon, Alexandre. Le prophète Nectanebus leur annonce que l'enfant est d'origine divine et qu'il gouvernera le monde. Le destin du petit Alexandre est tout tracé..." Magnifique !

Tous au poste ! 
Tous ensemble, tous ensemble !!!
Donc, voilà.

UN JOUR DANS L'HISTOIRE
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