Selon certaines sources, au XVIIème siècle, l'AFSCA préconisait déjà au personnel de cuisine, y compris au chef, de se couvrir le chef (NDLR. Que le chef, avec ou sans couvre-chef, soit dénommé maître-queue, reste une énigme). Personne ne respectait l'injonction, bien entendu. Sauf en cas d'inspection surprise. Tous alors empoignaient fissa ce qu'ils avaient sous la main pour se le flanquer sur le crâne. Et c'est ainsi qu'un inspecteur surpris surprit un jour tous les cuisiniers d'un restaurant coiffés d'une charlotte aux fraises ou au chocolat. L'histoire fit grand bruit, à tel point que les couvre-chefs culinaires portèrent désormais le nom de charlotte.
Selon d'autres sources, au XVIIème siècle, l'AFSCA préconisait déjà au personnel de cuisine, y compris au chef, de se couvrir le chef (NDLR, voir plus haut, on ne va quand même pas tout répéter deux fois !!!). Personne ne respectait l'injonction, bien entendu. Sauf en cas d'inspection surprise. Tous alors empoignaient fissa ce qu'ils avaient sous la main pour se le flanquer sur le crâne. Et c'est ainsi qu'un inspecteur surpris surprit un jour tous les cuisiniers d'un restaurant coiffés de purée de pommes de terre de la variété "charlotte". L'histoire fit grand bruit, à tel point que les couvre-chefs culinaires portèrent désormais le nom de charlotte.
La pomme de terre charlotte (NDLR: Tout comme Charlotte Gainsbourg, d'ailleurs), se caractérise par une forme oblongue, une peau fine, et une chair ferme. Très productive et d'une excellente tenue à la cuisson, il convient de la cuire à la vapeur, ou de la sauter mais non de la rôtir. (NDLR l'assimilation à Charlotte Gainsbourg se limitera aux seules premières caractéristiques ci-avant. Quoique. En fait, on ne sait pas. En tous cas, pas nous. Malheureusement. Ou pas).
Charlotte eut quatre garçons qui formèrent le groupe musical des Charlots, dont on retiendra l'apport incontestable au développement du langage poétique contemporain, dans des œuvres telles que "Le gosse pèle", "L'apérobic", ou encore "Je chante en attendant que ça sèche".
Ecoutons plutôt. Wouf, wouf.
Donc, voilà,