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Donc voilà

Un peu de tout, sur tout ou rien, selon l'humeur du jour.

SUS A SARAH

Publié le 29 Novembre 2017 par Jean Dufour

Nous lançons ici même une nouvelle pétition qui devrait entraîner un vaste élan d'adhésion, tant le sujet concerne tout un chacun et devient de plus en plus présent et préoccupant. Sous le slogan de "Plus de Sarah chez nous", nous voulons mener une action d'envergure afin de mettre un point final à une véritable nuisance et exiger que cesse de sévir la dénommée Sarah de Paduwa ! On l'entendait tous les matins à la radio, et voilà qu'elle envahit à présent le petit écran dès potron-minet (potronne-minette, en écriture inclusive NDLR). Cette bonne femme s'invite tous les jours à votre table de petit-déjeuner, alors que vous êtes encore en tenue de nuit, dans votre pyjama rayé, baillant lui-aussi, laissant apparaître de vagues formes flasques et pandouillantes, le visage tatoué des plis de l'oreiller, l'haleine zoologique, le moral au ras des pantoufles, baragouinant un bonjour désolant entre deux soupirs ...Et elle, chaque jour, constamment pimpante, souriante, affriolante, enthousiaste, rigolante et rigolote, enjouée, dans une forme olympique ... vous fait comprendre qu'il y a deux espèces d'êtres humains. Elle ... et les autres. Il faut que cesse cette incursion d'entrain permanent, cette avalanche d'optimisme, ce débordement de bonne humeur. Quoi de plus déprimant que d'être confronté tous les jours à tant de légèreté, de joie de vivre et d'énergie, et de constater l'écart abyssal qui sépare votre humeur matinale de cette arrogante évocation vivante d'une jubilation permanente d'un niveau inatteignable par le commun des mortels. Depuis que cette sœur-sourire médiatique sévit, on enregistre une recrudescence significative du nombre de burn-out et de dépressions, tandis que l'absentéisme et les retards au travail connaissent une augmentation inquiétante. Il faut que cela cesse ! En guise de protestation, nous invitons tous les citoyens à retourner leur poste de télévision. Allumé. Sinon, ça ne sert à rien. 
Donc, voilà,

SUS A SARAH
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BIEN-ÊTRE AU TRAVAIL

Publié le 25 Novembre 2017 par Jean Dufour

En cette Journée Internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, Miss Maggy a décidé de prendre des mesures et de limiter l'écartement des femmes enceintes. Le maximum autorisé sera désormais de 71 degrés. Notons que les artistes de cirque et les gymnastes pourront bénéficier d'une dérogation et continuer à faire le grand écart. On respire !
Donc, voilà
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BIEN-ÊTRE AU TRAVAIL
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A MÉDITER

Publié le 24 Novembre 2017 par Jean Dufour

Jusqu'à preuve du contraire, il est moins rare de boire dans un verre fumé que de voir un vers fumer.... Fût-il vert. Le verre. Et le vers. 
Donc voilà

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CHASSE AUX CENDRIERS

Publié le 23 Novembre 2017 par Jean Dufour

Attention. Il sera bientôt défendu de fumer avec des enfants dans la voiture. Avec des cigarettes aussi.
Donc voilà.

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LA CRISE DES SUPPRIMES

Publié le 22 Novembre 2017 par Jean Dufour

Et voici encore une question existentielle qui va tarauder nos contemporains et reléguer au second plan de l'actualité la menace coréenne, la crise des migrants, la famine au Yémen et la défaite de David Goffin. En effet, c'est dans la stupeur et l'incompréhension que la population mondiale a eu vent de l'incroyable nouvelle: Facebook songe à supprimer la commande "supprimer" de ses commandes. Oui, vous avez bien lu: Facebook songe à supprimer la commande "supprimer" de ses commandes. Mais comment diantre vont-ils faire pour la supprimer, s'ils suppriment la commande supprimer ...? Et si un jour ils changent d'avis, comment vont-ils pouvoir supprimer la suppression de la commande supprimer ? D'où la question que tout le monde se pose, un jour ou l'autre, au cours de son existence: la suppression de la suppression est-elle possible ? Et la mort de la mort ...? Et la fin de la fin ...? Et l'arrêt (du bus) de l'arrêt (du cul) ...? Merci Facebook de nous offrir, une fois de plus, l'opportunité de nous pencher sur les grandes questions de notre temps !
Donc, voilà,
LA CRISE DES SUPPRIMES
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GOFFIN JUSTIFIE LES MOYENS

Publié le 20 Novembre 2017 par Jean Dufour

La Belgique a vibré ce dimanche au son des raquettes, des petite balles jaunes et des couinements de chaussures sur le sol du court londonien des masters.
Mais nous avons pu constater une nouvelle fois combien ce jeu était élitiste, jouissant de privilèges dont ne bénéficie nulle autre discipline sportive. C'est le seul sport en effet, du moins à notre connaissance, mais nous pouvons nous tromper, nous ne sommes pas à l'abri d'une erreur, le seul donc où les joueurs ont la possibilité de planquer plusieurs balles de réserve dans les poches de leurs short, créant ainsi l'illusion qu'ils en ont vraiment dans le slip ! On imagine mal nos footballeurs, rugbymans et joueurs de pétanque pouvoir en faire autant. Ne songeons même pas aux lanceurs de javelot ... Quand donc cessera ce suprémacisme ? 
Donc, voilà

GOFFIN JUSTIFIE LES MOYENS
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LA SAINTE DU JOUR (d'hier)

Publié le 18 Novembre 2017 par Jean Dufour

Elisabeth se nommait en fait Elisa. Mais la hauteur de son QI étant inversement proportionnelle à la pointure de ses pieds (49 à 52, selon la longueur des ongles NDLR), on la surnomma bien vite Elisa-bête-comme-ses-pieds. Et quand on s'aperçut que la fragrance qu'elle dégageait ne provenait pas de ses chaussures mais de la petite fumette qu'elle s'offrait de temps à autre, on ajouta un "h" à son surnom: "Elisa-bête-comme-ses-pieds-h". Et c'est à nouveau à une erreur commise par un moine copiste presbyte du moyen-âge (encore lui !) que l'on doit l'orthographe actuelle du prénom d'Elisabeth.
A noter qu'un concours est organisé de nos jours pour désigner chaque année la Reine Elisabeth. En sont exclues toutes celles qui chantent comme des pieds !
Donc, voilà.

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APPEL D'AIR (exposé scientifique)

Publié le 16 Novembre 2017 par Jean Dufour

On a appris cette semaine que l'air que l'on respire à bord des avions pouvait être nocif et causer maints désagréments aux passagers et membres du personnel. Intéressons-nous d'un peu plus près à cette problématique (du gendarme). En fait, nos moyens de transport véhiculent non seulement des passagers et des marchandises, mais également l'air qui s'est engouffré dans l'habitacle au moment de l'embarquement. Ceci est vrai pour un avion, mais aussi pour une voiture, un autobus, un camion. Plus rarement pour une moto (sauf avec casque intégral NDLR) ou un vélo. Et encore plus rarement pour un spaghetti carbonara. C'est donc une importante cargaison d'air qu'embarquent systématiquement nos moyens de locomotion avant le départ, qu'ils déversent ensuite à l'endroit d'arrivée, provoquant ainsi d'incessants déplacements d'air d'un endroit à un autre, d'un pays à un autre, voire d'un continent à un autre. Dès lors que tous les airs du monde se mélangent, on ne s'étonnera plus qu'il n'y ait plus de saison ! Une seule solution dont les chercheurs qui cherchent tentent de trouver l'application: voyager sous vide !
Mais ce constat nous amène à dénoncer une pratique de plus en plus répandue qui renforce le phénomène cité plus haut. Nous faisons ici allusion à cette technique qui consiste à immobiliser les marchandises dans leurs emballages grâce à des coussinets en plastique remplis d'air. La tentation est grande, une fois le colis déballé, de faire péter ces ballonnets, pour en réduire le volume dans la poubelle noire où il échouera inévitablement, ou pour faire une bonne blague désopilante qui fera crouler de rire l'assistance. Mais se rend-ton compte de la provenance de l'air ainsi libéré et des conséquences de ce geste innocent ? Peut-être vient-il de Roumanie, de Chine ou de Corée. Que contient-il ? De l'air. Oui. Mais aussi les expectorations de l'ouvrier en charge de la fabrication, les gaz toxiques du clark du dépôt ou les effluves de la dernière flatulence abandonnée par le contremaître durant sa tournée des ateliers ? Y pensons-nous ? Vraiment ?
Face à cette véritable migration d'air, plusieurs solutions se présentent: soit les renvoyer dans leurs pays, soit les enterrer bien profond, comme nos déchets nucléaires pour en faire profiter les générations futures, soit les recycler en combustible.
Et si on dit que le battement d'ailes d'un papillon peut engendrer un typhon à l'autre bout du monde, on peut dire que la proute d'un ouvrier chinois peut allumer une cigarette de l'autre côté de la planète. Vive la mondialisation. Poil au menton.

APPEL D'AIR (exposé scientifique)
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PROGRAMME TV

Publié le 16 Novembre 2017 par Jean Dufour

Lu dans la gazette, à propos de l'émission télévisée de ce soir sur les pratiques sexuelles hors normes: "l'échange aurait mérité d'être un peu plus long pour gagner en profondeur".

Donc, voilà

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COURS DE LA BOURSE

Publié le 13 Novembre 2017 par Jean Dufour

13 novembre: le calendrier comprend aujourd'hui deux mentions: "Saint Brice" et "Journée mondiale de la vasectomie". 
C'est un 13 novembre qu'est née l'expression: "Tu nous les brices menues !"
Donc, voilà

COURS DE LA BOURSE
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