Aujourd'hui, Saint Edgar.
Bonne fête à toutes les locomotives !
Donc, voilà.

Le jeune marié Amedeo a réagi à notre message du 6 juillet et a tenu à apporter la rectification suivante. pour laquelle nous lui accordons la place d’un droit de réponse : « Je ne m’appelle pas Amadeo, mais Amedeo ! Zut à la fin ! ». Dont acte.
C’est l’occasion de nous souvenir de qui fut Saint Amedeo, mieux connu sous le nom de « patron des aisselles ». Victime d’une forte odeur corporelle à la commissure (de police) des bras, le jeune Kevin (puisqu’il se nommait ainsi avant d’être affublé du patronyme que l’on connaît) perturbait régulièrement la quiétude olfactive de ses voisins de classe dès les premières heures du jour. Ceux-ci, une fois identifiée l’origine de ces désagréments odoriférants, exprimaient leur gêne par ces mots « Ah … Mets du déo !!! » … Ce que l’érosion du temps transforma lentement en ce surnom d’Amedeo que la postérité retiendra (poils aux bras) pour longtemps.
Donc, voilà.

Aujourd'hui, Saint Edgar.
Bonne fête à toutes les locomotives !
Donc, voilà.

Tout est bien qui finit bien. Après beaucoup d’hésitations, les Diables rouges ont enfin pu quitter l’aéroport de Zaventem. La police a rapidement arrêté l’auteur de la disparition de la porte dérobée par laquelle devaient passer les champions.
Donc, voilà.

Ça y est, c’est parti pour une nouvelle grande boucle ! Afin d’éviter les débordements constatés lors des dernières éditions, et de redonner à ce sport les lettres de noblesse qu’il mérite, après consultation des différentes fédérations nationales et internationales, et des représentants des chaines de télévision (et de vélo), et pour répondre aux nombreuses plaintes tant des coureurs que des supporters, tout en veillant à ne pas froisser les susceptibilités de ceux qui ne manqueront pas de trouver la faille là où on s’y attend le moins, mais en gardant à l’esprit que tout changement implique des modifications et que le statu-quo ne peut que mener à l’immobilisme, la décision est irrévocable (de frein) et sans appel : le Tour de France cycliste se disputera cette année à vélo !
Donc, voilà.

Partout dans le pays, des écrans géants ont rassemblé des foules de supporters imbibés et gueulards ravis de suivre en meute les exploits d’une poignée de millionnaires rouges partis taper la balle de l’autre côté de l’océan. Cet engouement a donné des idées aux autorités qui ont décidé d’utiliser ces installations pour diffuser dorénavant, sur toutes les places du royaume, les débats du Parlement. On se réjouit déjà à l’idée des belles après-midi de délire qui nous attendent, où la foule enthousiaste vibrera aux exploits de nos représentants et les invectivera, par écran interposé, aux cris de « Dégage ! », « Vas-y, qu’est-ce que tu fous ? », « Non, mais c’est quoi cet empoté ?», « Mais vote, nom de dieu, vote », « Regarde sur ta droite, enfoiré », « carte rouge ! », voire même «encx%$ ? » ou « trou du +@x£* »... A moins que ce ne soit « Vas-y, t’es le plus fort ! », « Bien envoyé ! », ou même « Tous ensemble, tous ensemble, hou ha ! ». Mais ça c’est moins sûr.
Vive le sport !
Donc, voilà.

.. s'est marié. Amadeo, le fils d'Astrid, la soeur du roi, qui a épousé Lorentz, non pas le roi, Astrid, mais non pas Albert, Philippe, le roi, Albert il a épousé Paola, non, Fabiola c'est sa belle-soeur, non pas à Philippe, à Albert, oui, enfin, bref, Amadeo, non Amadeus, ça c'était Mozart, ou, il avait du talent, non pas Amadeo, Amadeus, mais non je n'ai pas dit qu'Amadeo n'avait pas de talent, oh, et puis, on s'en fout. Bref, Amadeo a épousé Elisabetta Rosboch von Wolkenstein, ce samedi à 17 h 30. Alors que les Diables rouges entamaient leur match contre l'Argentine à 18 h.

Au moment du "Oui" solennel, Mathilde a crié: "goal, goal, goal".

Donc, voilà.

Partout dans le pays, des écrans géants ont rassemblé des foules de supporters imbibés et gueulards ravis de suivre en meute les exploits d’une poignée de millionnaires rouges partis taper la balle de l’autre côté de l’océan. Cet engouement a donné des idées aux autorités qui ont décidé d’utiliser ces installations pour diffuser dorénavant, sur toutes les places du royaume, les débats du Parlement. On se réjouit déjà à l’idée des belles après-midi de délire qui nous attendent, où la foule enthousiaste vibrera aux exploits de nos représentants et les invectivera, par écran interposé, aux cris de « Dégage ! », « Vas-y, qu’est-ce que tu fous ? », « Non, mais c’est quoi cet empoté ?», « Mais vote, nom de dieu, vote », « Regarde sur ta droite, enfoiré », « carte rouge ! », voire même «encx%$ ? » ou « trou du +@x£* »... A moins que ce ne soit « Vas-y, t’es le plus fort ! », « Bien envoyé ! », ou même « Tous ensemble, tous ensemble, hou ha ! ». Mais ça c’est moins sûr.
Vive le sport !
Donc, voilà.

Il y a un an, jour pour jour, Albert II rendait son tablier de roi après 20 ans de bons et royaux services. Nous ne résistons pas au plaisir de reproduire ici un bref extrait de la communication télévisée par laquelle il annonçait au peuple belge son intention de partir à la retraite et de laisser sa place royale à son fils. Par manque de temps, nous ne pouvons reprendre qu'un très furtif passage de cet historique message ô combien émouvant. Souvenez-vous: "(...) Je constate que le prince Philippe est bien préparé pour me succéder. Il jouit avec la Princesse Mathilde (...)".
Donc, voilà.