Aujourd'hui, Sainte Carine, patronne des dentistes.
La jeune fille, qui s'appelait Klprdtgzmnvutrm car elle était née lors de la grave disette de voyelles de 1742, souffrait de fréquents maux de dents dedans. Ses visites chez le dentiste étaient fréquentes. La pauvre souffrait tellement qu'en entrant dans le cabinet, elle en oubliait les formules de salutations d'usage et ne pouvait qu'ânonner péniblement, et en bavant, le mot "carie" ce qui, en raison de la déformation faciale que lui causait son mal, devenait dans sa bouche "garigne".
Le brave dentiste, las de recopier le véritable prénom de son impatiente patiente sur les ordonnances, y mentionnait, en lieu et place de Klprdtgzmnvutrm, le borborygme "garigne". Ce qu'un moine-copiste presbyte du Moyen-âge transforma en cette Carine que l'on connait encore aujourd'hui.
C'est en son honneur, et en souvenir de ses maux dus à un excès de sucreries (on a retrouvé dans sa tombe nombre d'emballages de Kinder-Bueno, de M&M's, de Chokotoff et de Carambar) que l'on l'a (lonlère) associée à cet édulcorant que tout le monde connait actuellement sous le nom de Sa-Carine.
A noter que les Carine sont des personnes particulièrement incisives.
Donc, voilà,