Sait-on encore aujourd'hui que cette sympathique coutume qui consiste à inciter le consommateur à acheter ce-qu'il-n'aurait-peut-être-jamais-acheté-en-dehors-du-black-friday-mais-qu'il-va-quand-même-acheter-parce-que-c'est-moins-cher-mais-quand-même-plus-cher-que-s'il-ne-l'avait-pas-acheté, s'appelait autrefois "Blague Frida".
Frida était atteinte du syndrome de la ménopause acheteuse et faisait des blagues (NDLR: d'où le nom de "Blague Frida" ... mais vous aviez sûrement compris. Non ? Si! ) et donc faisait des blagues à son mari pour lui faire croire qu'elle faisait une affaire en achetant un article moins cher que s'il avait coûté plus cher. Le mari, un peu niais, se félicitait chaque jour d'avoir une épouse aussi intelligente. L'idée se répandit comme une traînée de poutre (NDLR: l'auteur avait écrit "traînée de prout" ... mais nous avons rectifié. On respire !) et bientôt beaucoup de ménagères furent gagnées, elles aussi, par le mal de la Blague Frida.
C'est à une erreur d'un moine copiste presbyte du moyen-âge que l'on doit l'appellation de Black-Friday que l'on connait aujourd'hui.
Donc, voilà,
NB. Attention, méfiez-vous des contrefaçons, tels que Black-Vrijdag, Black et Decker, Travail en Black ou les Black de Toto !